Pour mieux soulager le petit contribuable, le régime s'en décharge sur des tiers plus fortunés.
A la mort d'un Doge, le Palais est remis en état par son successeur.
Le coût du voyage d'un envoyé diplomatique est supporté par l'armateur qui le transporte.
Galas et fêtes qui saluent la visite d'un hôte de marque sont financés par les compagnies "della Calza", ces sortes de "clubs" que forme au XVIIe siècle la jeunesse dorée.
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