Encouragé par les hurlements des vainqueurs ottomans de Famagouste, un bourreau armé d'un couteau découpe une bande de peau sur l'épaule du commandant vénitien prisonnier, Marc Antonio Bragadino (gravure du XIXe s.). Pour se justifier d'avoir écorché vif Bragadino, les Turcs déclarèrent qu'il avait fait exécuter des prisonniers musulmans pendant les dix mois de siège du principal port cypriote.
"La Marine de Venise" C. Thubron
Urne contenant la dépouille de Bragadin à San Giovanni e Paolo
Coucou, Maïté... je partage avec toi une de mes pages vénitiennes, :-))
RépondreSupprimerBonne soirée
bises
Danielle
Maité, ti lascio un commento su quest'ultimo post, ma sono andato a vedere anche tutti gli altri. Sono due giorni che non ho aperto il PC perché non sono stato molto bene. Niente di grave, ma ero costretto a letto.
RépondreSupprimerLo sai che 50 anni fa, Via Garibaldi era un luogo malfamato, contrabando di sigarette prima e droga dopo, ma poi la malavita si è trasferita in terraferma. Ciao e buonanotte.
Une fixation sur les mastodontes, dites-vous ?
RépondreSupprimerAprès l'évocation de Bornéo, ça doit être sexuel ! :)) Je plaisante, bien sûr.
Bornéo est un nouvel abonné à qui je faisais un clin d'oeil....(sinon, pas d'autre problème!!!!) A presto !
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