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| Une galère à quai (détail du "Retour des ambassadeurs" par Carpaccio |
L'organisation des convois de galères atteignit à Venise son plus haut degré de perfection ; au XVe siècle, la vie du monde méditerranéen ne pouvait se concevoir sans les lignes maritimes vénitiennes.
Les galères naviguaient en convois, dûment protégées par une bonne escorte d’arbalétriers , qui à la fin du siècle cédèrent la place aux bombardes.
Assez rapides à la voile par vent favorable, elles avaient la possibilité de recourir aux rames.
Durant tout le Moyen Age, ce furent des hommes libres enrôlés volontaires qui s'assirent sur les bancs des rameurs.
Ce sera le XVIe siècle, affecté d'un manque chronique, qui transformera cette tâche en châtiment pour les condamnés.
Eh oui, les galères de l'Etat, ça existe depuis un moment...
RépondreSupprimerCiao Maité, non potevo mancare un passaggio da te per vedere i tuoi ultimi post, prima di andare a letto. Mi piace quest'ultimo e sai che ancora oggi a Venezia, per uno che va in prigione, si dice che "va in galera".
RépondreSupprimerBuonanotte.