Au pied d'une des colonnes de la Piazzetta l'espace de "trottoir" est plus étroit ; si le condamné à mort pouvait faire le tour de la colonne sans glisser et poser le pied sur la pierre grise, il avait la vie sauve. La pierre blanche est d'ailleurs usée à cet endroit. Mieux valait ne pas être trop gros !
Bravissimo !!! et pourquoi auriez-vous été condamnée à mort ma chère Maïté, d'avoir trop mangé de "gianduiotto" de chez Nico ???
RépondreSupprimerNous sommes des lectrices de Tiziano Scarpa et de son Venise est un poisson...Il y a des passages si drôles, que même en public, je ne pouvais d'interrompre mes fous rires, aux larmes !
Il est très amusant car il tutoie le lecteur et cela ne va pas sans me plaire !!!
Bonne journée
Danielle
Merci, Maïté, pour cette belle histoire qui prouve la mansuétude des Vénitiens à l'égard des condamnés.
RépondreSupprimerAnne
C'est la première fois que je suis allée à Venise, il y a ...presque trente ans, qu'un guide m'avait raconté cette légende, et j'ai pensé à photographier ce fameux pilier au début du mois en pensant à mon blog.
RépondreSupprimerTrés jolie histoire et bravo pour votre exploit.J'adore les musiques qui nous accompagnent dans votre site.
RépondreSupprimerMarisol